Deux sessions successives portant sur les troubles de la continence
L’autosondage fait maintenant partie de l’arsenal thérapeutique habituel de la prise en charge des vessies neurologiques.
Si son indication semble évidente pour le praticien, son application pratique peut parfois être plus difficile à faire accepter. En effet, il existe des freins psychologiques liés aux peurs, aux fausses croyances, à la notion d’une contrainte de soins trop lourde chez des patients ayant un handicap neurologique parfois sévère. Comment évaluer cette dimension psychologique ? Que peut-on proposer ? Par ailleurs, le sondage ne se résume pas au simple passage d’un tuyau à travers un conduit ; des difficultés techniques liées au sondage, liées au handicap peuvent constituer un obstacle à sa réalisation. Comment les évaluer ? Quelles solutions proposer ?
Lors de ces deux webinars, nous développerons les outils et les techniques utilisées pour améliorer l’adhérence du patient au sondage.